Après une année 2004 de reprise économique, 2005 apparaît en demi-teinte, marquée par une crise des prix des énergies et une activité économique ralentie. Elle se caractérise notamment par une nouvelle baisse de la consommation de pétrole, une hydraulique faible qui entraîne un surcroît de consommation d’énergies fossiles pour produire de l’électricité et, finalement, une légère hausse, à la fois de la consommation d’énergie primaire et des émissions de CO2. Par contre, en continuité avec 2004, l’amélioration sensible de l’efficacité énergétique se poursuit.