L’année 2008 restera dans l’histoire de l’énergie comme l’année des chocs : choc des prix, avec un pétrole qui culmine à près des 150 $ le baril en juillet, puis choc de la crise économique avec une demande qui s’effondre.
Freinée par les prix puis par la baisse d’activité, la demande en énergie fléchit, en particulier dans les transports.
Dans ce contexte perturbé, des évolutions durables semblent se dessiner : la consommation d’énergie, qui n’augmente plus depuis 2001, confirme sa stabilisation ; l’essor des énergies renouvelables prend de la vigueur, en partie aidé par le ciel qui fournit une hydraulicité normale après plusieurs années de disette ; les émissions de CO² liées à l’énergie poursuivent leur baisse.
Freinée par les prix puis par la baisse d’activité, la demande en énergie fléchit, en particulier dans les transports.
Dans ce contexte perturbé, des évolutions durables semblent se dessiner : la consommation d’énergie, qui n’augmente plus depuis 2001, confirme sa stabilisation ; l’essor des énergies renouvelables prend de la vigueur, en partie aidé par le ciel qui fournit une hydraulicité normale après plusieurs années de disette ; les émissions de CO² liées à l’énergie poursuivent leur baisse.