En 2011, le poids des dépenses courantes en logement dans le budget des ménages recule de 0,3 point en raison à la fois de conditions climatiques particulièrement clémentes et d’un nouveau ralentissement des prix des loyers. La dépense en logements neufs a rebondi, dynamisée notamment par l’effort accru d’investissement des bailleurs sociaux, tout comme le rythme des transactions dans l’ancien, qui a retrouvé son niveau d’avant-crise. Les aides publiques au logement atteignent 2,25 % du produit intérieur brut (PIB).
L’année 2012 semble moins favorable. Certes, la construction neuve de logements collectifs se poursuit, maintenant ainsi la dynamique de l’investissement à un rythme proche de 2011 ; mais les mises en chantier sont clairement orientées à la baisse, tout comme les travaux de gros entretien et d’amélioration ainsi que les transactions dans l’ancien, qui réagissent en phase avec le ralentissement de la croissance économique française.
L’année 2012 semble moins favorable. Certes, la construction neuve de logements collectifs se poursuit, maintenant ainsi la dynamique de l’investissement à un rythme proche de 2011 ; mais les mises en chantier sont clairement orientées à la baisse, tout comme les travaux de gros entretien et d’amélioration ainsi que les transactions dans l’ancien, qui réagissent en phase avec le ralentissement de la croissance économique française.