
De nombreuses actions sont mises en œuvre par l'ensemble des agents économiques (administration, entreprises, ménages) pour réparer les dégradations de l'environnement ou pour prévenir les dommages environnementaux potentiels. Les moyens financiers affectés aux dépenses en lien avec l'environnement concernent la protection de l'environnement et la gestion durable des ressources naturelles.
Dépenses de protection de l’environnement en France en 2020 - Synthèse des connaissances
AccrocheEn France, de nombreuses actions sont mises en œuvre par l’ensemble des acteurs économiques (État, collectivités locales, entreprises et ménages) pour prévenir les dommages environnementaux potentiels, réparer les dégradations de l’environnement ou compenser les impacts contre les milieux naturels. En 2020, les moyens financiers alloués à la protection de l’environnement en France atteignent 51,5 milliards d’euros (Md€).Quelles réponses économiques face au déclin de la biodiversité ? La dépense nationale de protection de la biodiversité et des paysages en 2018
AccrocheEn 2018, 2,4 milliards d’euros ont été consacrés à la protection de la biodiversité et des paysages sur le territoire national. Cette dépense se répartit, à parts sensiblement égales, entre le développement des aires protégées, la réduction des pressions sur les milieux naturels, la protection du patrimoine naturel et la réhabilitation des milieux aquatiques. Le financement de la protection de la biodiversité en France provient essentiellement de la sphère publique (État, y compris les agences de l’eau, et les collectivités locales).
Les dépenses liées à l’environnement en 2013
AccrocheEn 2013, l’ensemble des dépenses consenties pour la protection de l’environnement par les ménages, les entreprises privées et les administrations publiques représentent 47,2 milliards d’euros. La gestion des déchets (35 %) et l’assainissement des eaux usées (27 %) constituent les principaux postes de ce total.
Par rapport à 2012, la dépense de protection de l’environnement croît de 1,8 %. La progression du coût de la gestion publique des déchets ménagers, la hausse des ventes de véhicules électriques et l’augmentation de la proportion de biocarburants incorporés dans les carburants classiques contribuent à cette croissance.