Accidents dans les transports

Évolution des accidents corporels des transports

En unités

1 Victimes décédées sur le coup ou dans les 30 jours qui suivent l'accident.
2 Victimes non tuées parmi lesquelles on distingue les blessés légers (dont l'état nécessite un soin médical mais qui, en cas d'hospitalisation, ne sont pas hospitalisés plus de 24 heures) et les blessés hospitalisés.
3 CROSS : Centres régionaux opérationnels de surveillance et de sauvetage.
Note : les personnes tuées dans un accident ferroviaire sont les usagers de la route tués en franchissant un passage à niveau, les cheminots tués pendant des travaux ainsi que les usagers ferroviaires tués dans un accident ferroviaire.
Champ : France métropolitaine (route, ferroviaire, aérien), France métropolitaine, départements et régions d'outre-mer, Polynésie française et Nouvelle-Calédonie (maritime).
Sources : ONISR ; SNCF Réseau ; BEA ; DGITM/DAM

En 2020, dans le transport ferroviaire, le nombre d’accidents corporels atteint un niveau historiquement bas (105 accidents en 2020, contre 123 en 2019). Dans le transport aérien, le nombre d’accidents corporels diminue mais le nombre de décès augmente (57 décès en 2020, contre 39 en 2019). En 2020, le nombre d’accidents maritimes (opérations de sauvetage) est stable par rapport à 2019, à un niveau élevé comparé aux dix dernières années.

Évolution des accidents de la route

1 Victimes décédées sur le coup ou dans les 30 jours qui suivent l’accident.
2 Victimes non tuées parmi lesquelles on distingue les blessés légers (dont l'état nécessite un soin médical mais qui, en cas d'hospitalisation, ne sont pas hospitalisés plus de 24 heures) et les blessés hospitalisés.
Les pratiques d’enregistrement par les forces de l’ordre des blessés hospitalisés ont évolué en 2018.
Champ : France métropolitaine.
Source : ONISR 

En 2020, le bilan de l’accidentalité en France métropolitaine s’établit à 45 121 accidents corporels impliquant 2 541 victimes décédées et 55 836 victimes blessées. Le nombre d’accidents corporels a chuté en 2020 par rapport à 2019 (- 10 895). Ce fort recul de l’accidentalité routière s’explique par la forte réduction des déplacements engendrée par la crise sanitaire de la Covid-19.