Les dépenses consacrées au logement enregistrent en 2006 une hausse sans précédent (+ 8,5 %) pour atteindre 416 milliards d’euros avant de s’infléchir en 2007.
Elles sont tirées par la progression, à un rythme inédit depuis 20 ans, des dépenses d’investissement (+ 12,8 %). Cette vigueur reflète la vitalité du marché du neuf, favorisée par des conditions de financement demeurées très attractives. En 2007, la remontée des taux d’intérêt et le niveau élevé des prix pèsent sur les acquisitions de logements neufs.
Les dépenses courantes continuent de croître à vive allure en 2006 puis ralentissent en 2007 (+ 6,6 % et + 5,8 %). Ce ralentissement est autorisé par la moindre progression des prix énergétiques, malgré la persistance de hausses de loyers importantes. Les revenus et les aides augmentant en parallèle moins vite, le poids des dépenses courantes de logement dans le budget des ménages s’alourdit encore pour atteindre 22,8 % en 2007.
Elles sont tirées par la progression, à un rythme inédit depuis 20 ans, des dépenses d’investissement (+ 12,8 %). Cette vigueur reflète la vitalité du marché du neuf, favorisée par des conditions de financement demeurées très attractives. En 2007, la remontée des taux d’intérêt et le niveau élevé des prix pèsent sur les acquisitions de logements neufs.
Les dépenses courantes continuent de croître à vive allure en 2006 puis ralentissent en 2007 (+ 6,6 % et + 5,8 %). Ce ralentissement est autorisé par la moindre progression des prix énergétiques, malgré la persistance de hausses de loyers importantes. Les revenus et les aides augmentant en parallèle moins vite, le poids des dépenses courantes de logement dans le budget des ménages s’alourdit encore pour atteindre 22,8 % en 2007.
