En 2010, en incluant loyers, charges, taxes, remboursements d’emprunts, dépenses d’eau et d’énergie, un ménage sur deux consacre plus de 18,5 % de ses revenus à son habitation principale. Le coût du logement pèse plus lourdement pour les ménages à faibles ressources, les locataires du parc privé et les accédants à la propriété. Un locataire du parc privé sur cinq dépense plus de 40 % de ses revenus pour se loger.
Depuis quinze ans, le taux d’effort global augmente peu, mais la hausse est plus sensible pour les ménages modestes et les locataires du parc privé. Malgré l’envolée des prix immobiliers, le taux d’effort des accédants s’accroît faiblement, notamment parce que les emprunts se font sur des durées plus longues et que le profil des accédants évolue. L’accès à la propriété devient en effet plus difficile pour les ménages modestes.
Depuis quinze ans, le taux d’effort global augmente peu, mais la hausse est plus sensible pour les ménages modestes et les locataires du parc privé. Malgré l’envolée des prix immobiliers, le taux d’effort des accédants s’accroît faiblement, notamment parce que les emprunts se font sur des durées plus longues et que le profil des accédants évolue. L’accès à la propriété devient en effet plus difficile pour les ménages modestes.