L’année 2014 a été la plus chaude depuis 1900 en France et dans le monde. En particulier, l’hiver doux s’est traduit par des besoins en chauffage inférieurs de 7 millions de tonnes équivalent pétrole (Mtep) par rapport à une année moyenne. La consommation d’énergie primaire réelle est passée sous la barre symbolique des 250 Mtep, un plancher qu’elle n’avait pas franchi depuis 1995. Alors que la demande a baissé, la production nationale d’énergie primaire a augmenté pour la deuxième année consécutive : à 139 Mtep, soit un peu plus d’un Mtep par rapport à 2013. La production d’électricité nucléaire explique ce surcroît de production. Le déficit des échanges physiques d’énergie s’est donc nettement réduit en 2014, de 10 Mtep, et s’est établi sous 114 Mtep.
Résultats des années précédentes
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