Les conditions de logement

Logement
Publié le 02/01/2024
Écoquartier Parc Marianne à Montpellier - © © Terra/Arnaud Bouissou
Les conditions de logement regroupent toutes les dimensions relatives à la qualité du logement et de l’habitat en termes de confort (isolation phonique, thermique, état du logement…), d’occupation (adéquation entre la taille du logement et celle du ménage…) ou d’environnement extérieur (accessibilité, voisinage, bruit, pollution…).
  • Les conditions de logement des ménages résidant en France en 2020

    Accroche
    La dernière enquête logement, datée de 2020, montre une amélioration globale de l’opinion des ménages sur leurs conditions de logement depuis 2013, date de la précédente enquête. La présence de défauts de confort dans les logements diminue, même si un tiers des ménages occupent encore un logement présentant un ou plusieurs défauts graves, en premier lieu des fenêtres laissant anormalement passer l’air. La surface moyenne des logements occupés s'accroît par agrandissement du parc ancien. Par ailleurs, les espaces extérieurs privatifs se généralisent dans les résidences collectives récentes, tandis que l’habitat individuel construit depuis 2010 occupe des terrains de taille plus modérée que les constructions des décennies précédentes.

  • Les conditions d’occupation des logements au 1er janvier 2013

    Accroche
    En 2013, selon Filocom, chaque habitant de France métropolitaine dispose en moyenne de 36,5 m² dans sa résidence principale, soit une progression de + 0,6 % par an depuis 2011. Cette hausse s’explique par l’augmentation de la surface moyenne des résidences principales (+ 0,3 % par an) et par la diminution de la taille des ménages (- 0,3 % par an).
    La sur-occupation dans les logements, qui mesure l’inadéquation entre la taille du ménage et la surface du logement, continue de diminuer et touche 2,9 % des ménages. Elle demeure plus élevée dans le parc locatif privé (5,3 %) que dans les autres segments du parc : locatif social et parc des propriétaires occupants. Les disparités géographiques sont très fortes. Les revenus des propriétaires occupants sont deux fois plus élevés que ceux des locataires du parc social.