En 2011, la sur-occupation dans les logements, qui mesure l’inadéquation entre la taille du ménage et la surface du logement, diminue et touche 3,0 % des résidences principales du parc. Elle demeure plus élevée dans le parc locatif privé (5,5 %) que dans les autres segments du parc. Les disparités géographiques sont très fortes. En 2011, chaque habitant de métropole dispose en moyenne dans sa résidence principale de 36,1 m², en progression de + 1,4 % par rapport à 2009. Cette progression s’explique par celle de la surface moyenne des résidences principales (+ 0,9 %) et par la diminution de la taille des ménages (- 0,5 %).