La publication analyse le nombre de logements et les économies d’énergie associées pour plusieurs dispositifs nationaux d’aide à la rénovation : les certificats d’économie d’énergie (CEE), les aides de l’Agence nationale de l’habitat (Anah) - (Habiter Mieux, MaPrimeRénov’) et le crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE).
Données
Données associées à la publication.
Note méthodologique
Le suivi des rénovations aidées nécessite de mobiliser des sources administratives d’origines diverses. Pour cette étude, les bases de données relatives aux demandes d’aides CITE, CEE, MaPrimeRénov’ et « Habiter mieux Sérénité » ont été utilisées et rapprochées afin de mesurer le nombre de logements aidés et les économies d’énergie, aide par aide, mais aussi sans doubles comptes pour les logements bénéficiant de plusieurs aides. Les analyses présentées ici portent sur les dossiers soldés au cours de l’année.
D’autres sources, telles que la taxe d’habitation et le fichier statistique d’origine fiscale Fidéli de l’Insee ont également été utilisées pour disposer de données complémentaires sur les caractéristiques des logements et des ménages concernés.
L’estimation des économies d’énergie conventionnelles associées aux rénovations aidées se fonde sur des coefficients moyens par types de geste et types de logement. Cette estimation théorique, fondée sur une modélisation technique des logements, peut toutefois différer des économies d’énergie réelles associées aux rénovations, tant pour des raisons liées à la qualité effective des travaux qu’aux différences d’usage des ménages occupants et à d’éventuels changements de comportement concernant la température ambiante après rénovation.