Depuis 1999, l’âge moyen des locataires sociaux a progressé plus vite que celui de la population dans son ensemble. La taille moyenne des ménages a diminué tandis que la surface des logements a légèrement augmenté. Ceci a entraîné un recul de la sur-occupation, mais aussi une progression du nombre de logements sous-peuplés alors que la mobilité est restée faible.