Entre 2005 et 2007, la construction de logements neufs a été d’une vigueur exceptionnelle avec plus de 400 000 mises en chantier par an. Aussi la croissance annuelle moyenne du parc de logements s’établit-elle à 1,4 % sur cette période après avoir longtemps stagné autour de 1,0 %.
La hausse s’explique essentiellement par la construction de logements collectifs, qui n’est plus cantonnée aux grandes unités urbaines mais se développe également dans les communes rurales. Cette situation s’accompagne d’un étalement urbain qui se poursuit dans les régions où la construction est la plus dynamique, notamment dans l’Ouest du pays, le Sud-Ouest, Rhône-Alpes et l’Alsace.
Le prêt à 0 % avait favorisé la construction et l’étalement urbain dans ces régions à la fin des années quatre-vingt. Il a désormais une importance moindre dans le financement des logements, du fait de sa perte d’attractivité jusqu’en 2005.
La hausse s’explique essentiellement par la construction de logements collectifs, qui n’est plus cantonnée aux grandes unités urbaines mais se développe également dans les communes rurales. Cette situation s’accompagne d’un étalement urbain qui se poursuit dans les régions où la construction est la plus dynamique, notamment dans l’Ouest du pays, le Sud-Ouest, Rhône-Alpes et l’Alsace.
Le prêt à 0 % avait favorisé la construction et l’étalement urbain dans ces régions à la fin des années quatre-vingt. Il a désormais une importance moindre dans le financement des logements, du fait de sa perte d’attractivité jusqu’en 2005.