Par beaucoup d’aspects, la situation énergétique de la France en 2004 se rapproche de la normale, après deux années exceptionnelles (climat proche de la normale, évolution des consommations et productions proches des tendances,…). Néanmoins, stimulés par des prix élevés, les progrès d’efficacité énergétique sont notables, avec une baisse de -1,7% pour l’intensité énergétique finale, contre une baisse moyenne de seulement -0,9% par an depuis 1990.