Les conditions de logement des 30 % de ménages disposant de revenus modestes sont meilleures en 2007 qu’elles ne l’étaient en 2001 et l’écart avec les autres ménages s’est réduit. Cependant, 5,9 % d’entre eux souffrent encore de sur-occupation en 2007. La taille de ces ménages est plus grande que celle du reste de la population (2,5 personnes par ménage en moyenne, contre 2,3), et ils occupent des logements moins spacieux que les autres ménages (75 m² contre 88 m²). Les formes de cette sur-occupation diffèrent selon que le ménage est propriétaire occupant, locataire du parc social ou du parc privé.
La part des logements inconfortables chez les ménages à revenus modestes (31 %) est plus élevée que la moyenne, reflétant notamment leur plus grande ancienneté de construction. Conséquence de ce moindre confort, mais aussi de la structure de cette population, la mobilité des ménages à revenus modestes est plus forte.
La part des logements inconfortables chez les ménages à revenus modestes (31 %) est plus élevée que la moyenne, reflétant notamment leur plus grande ancienneté de construction. Conséquence de ce moindre confort, mais aussi de la structure de cette population, la mobilité des ménages à revenus modestes est plus forte.